Pièce
Estreines, à Dame Louïze Labé
Louïze est tant gracieuse et tant belle
Français
Dizain (Vers)
Etrenne (Vers)
Le texte a pu être attribué à Clément Marot (Cartier, 1894 suivant Blanchemain avec beaucoup de prudence, puis Rigolot, 1986) mais cette attribution est peu probable. D'autres hypothèses ont été formulées : Antoine Du Moulin ou Claude Galland (Huchon, 2006), Jacques Peletier du Mans ou Charles Fontaine (Vidal, 2019). Cette dernière hypothèse est à maints égards séduisante, mais, comme le reconnaît M. Vidal elle-même, elle ne peut être émise que "prudemment" (p. 321). Nous maintenons donc l'anonymat de cette pièce.
Terminé
Cartier Alfred,
« Les poètes de Louise Labé »,
Revue d'Histoire littéraire de la France, vol. 1, n° 4,
1894, p. 433-440. [voir en particulier p. 440]
Vidal Mathilde,
"Bon jour, bon an, et bonne étrenne". Poétique de l'étrenne en vers de Marot à Scarron,
thèse, dir. Vignes Jean,
Université Paris Diderot - Paris 7,
2019, p. 318-322.
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Claire Sicard et Pascal Joubaud, Notice Texte 5793, Scripta Manent, état du : 24 avril 2025